Les effets indirects comprennent toutes les conséquences des changements de taux d'humidité sur les micro-organismes (virus, bactéries, champignons), les allergènes, la qualité de l'air (particules, réactions physiques et chimiques), le taux d'élimination des agents pathogènes aéroportés et les conséquences néfastes potentielles des substances contaminées.humidificateursp>
Neuf études épidémiologiques ont examiné la relation entre le nombre d'infections respiratoires ou d'absentéisme et l'humidité relative dans les bureaux, les lieux de résidence ou les écoles. L'absentéisme ou les infections respiratoires sont moins fréquents chez les personnes qui travaillent ou vivent dans des environnements à humidité relative modérée à faible ou élevée.
À moins que l’humidité relative ne dépasse 60 %, la plupart des champignons ne peuvent pas se développer. L'humidité relative affecte également le taux d'émission de formaldéhyde des matériaux de construction intérieurs, le taux de formation d'acides et de sels dans le dioxyde de soufre et d'azote et le taux de formation d'ozone. L'effet de l'humidité relative sur l'abondance d'allergènes, d'agents pathogènes et de substances nocives. les produits chimiques indiquent que les niveaux d’humidité relative intérieure doivent être considérés comme un facteur de la qualité de l’air intérieur p>
Conclusion
En maintenant les niveaux intérieurs entre 40 % et 60 %, la plupart des effets néfastes sur la santé d’une faible humidité relative peuvent être minimisés. Cela nécessite une humidification dans des conditions hivernales froides. p> L'humidification doit de préférence utiliser un système d'évaporation ou de vapeur.humidificateurs, car les humidificateurs à vapeur froide peuvent propager des aérosols contaminés par des allergènes, des bactéries et des champignons.
